Ouvrir une entreprise, cela suppose d’avoir développé un projet cohérent, puis de le concrétiser à travers une structure légale adaptée. Ouvrir une entreprise demande donc du temps et de la réflexion.
Avant d’ouvrir une entreprise, le projet doit avoir été défini aussi clairement que possible. Il faut définir à la fois le produit ou le service qui sera vendu, ses points forts et points faibles, le type de public ciblé, les possibilités d’expansion et d’adaptation à la demande. La création d’entreprise n’est pas l’unique voie pour tester les réactions du public : le portage salarial, la couveuse ou la coopérative d’activité peuvent également être des champs d’application, moins risqués d’un point de vue financier (mais moins rentables effectivement en cas de succès). Ouvrir une entreprise représente une prise de risque supplémentaire, qui sera fructueuse si le projet a été correctement défini au préalable.
Ouvrir une entreprise permet de développer une activité déjà connue du public et de l’entrepreneur, ou de proposer un produit ou service novateur, répondant à une demande du public. Ces deux profils de création d’entreprise supposent des prises de risque différentes. Une activité déjà connue du public a l’assurance de répondre à un besoin réel et éprouvé, mais l’entrepreneur devra faire sa place parmi la concurrence. Le risque d’échec absolu est limité, mais les possibilités de bénéfices également. Ouvrir une entreprise pour proposer un produit ou service inédit se soldera, en cas de réussite, par une rentabilité importante, mais ne donne aucune garantie quant à la demande réelle du public.
En fonction du projet, il sera préférable d’ouvrir une entreprise de type SA ou SARL, EI ou EURL. La volonté de collaborer ou le désir d’indépendance seront également décisifs pour choisir le cadre juridique de la future entreprise. SAS/SASU, EI et EURL ne comptent qu’un associé obligatoire, tandis que SA, SARL ou SNC nécessitent 2 à 7 associés minimum. Le statut fiscal de chacune de ces structures est également déterminant pour ouvrir une entreprise.
La reprise d’une Sarl permet de transférer la totalité des parts de la société d’un dirigeant à un autre, ou d’un dirigeant à une autre société. Mais que rachète-t-on exactement avec une reprise de Sarl, et quelle est l’étendue de la responsabilité de l’acquéreur ?
Avec la reprise d’une Sarl, c’est la totalité du capital, des biens, des infrastructures, des contrats (contrats de travail pour les salariés, et contrats clients), des bénéfices et du passif qui change de mains. La valeur d’une société n’est évidemment pas égale à la somme de chacun de ces éléments. Une Sarl avec un capital de 20 000 euros peut valoir beaucoup plus si elle est en pleine croissance, avec un fort potentiel de développement, ou beaucoup moins si elle s’achemine vers la faillite, ou présente un fort endettement. La valeur de certaines caractéristiques de l’entreprise est parfois délicate à chiffrer : combien vaut la transmission d’un personnel opérationnel et déjà formé ? La reprise d’une Sarl doit donc faire l’objet, avant d’entamer des négociations, d’un audit complet.
La reprise d’une Sarl implique personnellement le nouveau dirigeant, puisque celui-ci reprend en son nom tous les engagements de ses prédécesseurs. Les contrats signés avec les salariés ainsi qu’avec les clients sont donc maintenus. Cela permet de disposer d’une entreprise immédiatement active. Mais l’acquéreur doit également avoir conscience qu’il devient responsable du passif de l’entreprise : un salarié licencié avant le rachat de la société peut parfaitement obtenir une assignation aux prud’hommes de l’entreprise. En cas de contrôle fiscal portant sur les années précédant la reprise de Sarl, le repreneur peut avoir à assumer des remboursements ou des amendes en cas de fraude…
La reprise d’une Sarl est destinée à garantir la stabilité aux clients comme aux employés malgré le changement de direction. Tous les contrats signés par le premier dirigeant, en sa qualité de représentant de la personne morale de l’entreprise, sont donc conservés, aux mêmes conditions. La reprise d’entreprise étend cet engagement aux dettes.
La reprise d’une PME est idéale pour disposer immédiatement d’une structure légale à l’organisation éprouvée, d’une clientèle déjà acquise et d’un personnel compétent et formé. Mais comment faire pour concrétiser une reprise de PME ?
La reprise de PME concerne tous ceux qui n’ont pas forcément d’idée pour une création d’entreprise, mais désirent mettre leur énergie et leur compétence au service du développement d’une activité professionnelle déjà existante. La reprise d’une PME doit se faire de préférence dans un secteur d’activité connu du repreneur, et qu’ils maîtrise suffisamment pour en comprendre le fonctionnement et les enjeux.
Des partenaires variés ont mis au point des dispositifs spécifiquement étudiés pour faciliter les reprises de PME. Les Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI), ainsi que les Chambres de Métier et d’Artisanat (CMA) organisent régulièrement des réunions et des formations à destination des repreneurs. L’Oséo propose également un accompagnement à la reprise de PME, essentiellement axé sur le financement (Prêt à la Création d’Entreprise, Garantie Financement Transmission et Contrat Développement Transmission).
Une reprise de PME peut enfin faire l’objet d’un accompagnement par un cabinet d’avocats spécialisés dans la transmission d’entreprises. Ils seront capables d’orienter le repreneur vers des offres correspondant à son profil et de soutenir le montage de son dossier financier. Pour ceux qui préfèrent se lancer en solo, des portails dédiés à la reprise de PME se sentent capables également de consulter en ligne et gratuitement les offres de reprise PME triées par date, par région, par secteur d’activité ou par chiffre d’affaire.
Une reprise de société représente une belle opportunité pour se lancer dans les affaires, sans avoir à passer par les démarches de création d’entreprise. Mais dans quels cas la reprise de société est-elle réellement judicieuse ?
Une reprise de société est particulièrement intéressante pour un investisseur qui ne dispose pas de projet particulier, et souhaite agir dans un secteur professionnel déjà existant. Pour une vente de produits ou de services originaux, on recommandera en revanche la création d’entreprise. Une reprise de société laisse moins de liberté au repreneur qu’une création d’entreprise, mais présente des avantages indéniables.
Avec une reprise de société, le repreneur n’hérite pas seulement du fond de commerce. La cession d’une entreprise correspond en effet à la remise, clé en main, de l’ensemble des outils nécessaires au bon fonctionnement de la société : statut juridique et fiscal, locaux, personnel qualifié et clientèle. Une reprise de société permet en effet de substituer un dirigeant à un autre, qui récupère tous les engagements de son prédécesseur.
Lors de la reprise d’une société, le repreneur doit donc avoir accès aussi libre que possible à toutes les données de l’entreprise. Car si les contrats signés avant la reprise sont maintenus ensuite, il en va de même des dettes… La reprise d’une société sur les seules bases du chiffre d’affaire et des salaires peut ainsi cacher de véritables gouffres financiers, et c’est la raison pour laquelle le repreneur a tout intérêt à bénéficier d’un suivi par un avocat spécialisé ou un organisme de type Oséo ou Chambre du Commerce.
Les entreprises à reprendre sont nombreuses, et existent dans tous les domaines professionnels. Trouver une entreprise à reprendre est donc facile, mais encore faut-il disposer d’un projet suffisamment défini pour faire le bon choix.
Les Chambres du Commerce et de l’Industrie et les Chambres de Métier et d’Artisanat diffusent des listes mises à jour des entreprises à reprendre, triées par date de dépôt des annonces. Pour une recherche simplifiée d’entreprises à reprendre, certains sites spécialisés proposent des moteurs de recherche qui permette d’entrer des critères de secteur d’activité, de zone géographique, de taille ou de salaire.
Pour s’orienter vers une entreprise à reprendre qui constituera à terme une véritable source de revenus, il convient donc d’élaborer le plus vite possible un cahier des charges détaillé. Le repreneur doit privilégier les secteurs d’activité qu’il connaît bien. Ses projets d’avenir doivent avoir fait l’objet d’une réflexion approfondie : s’agit-il de se lancer dans un investissement à dimension familiale ou internationale ? L’objectif est-il de créer des chaînes ou de faire prospérer une boutique unique ? La sélection des entreprises à reprendre sera bien évidemment très différente selon les réponses apportées.
Le prix d’achat des entreprises à reprendre est déterminant dans la plupart des cas de rachat ou cession. Le repreneur doit toutefois prendre garde aux entreprises en faillite, dont on peut racheter le capital pour une bouchée de pain, mais qui induisent ensuite des injections de capital importantes. Une entreprise à reprendre pour cause de départ à la retraite coûtera un peu plus cher à l’achat, mais les dépenses à effectuer seront prévisibles et faciles à cerner.
Comment reprendre une entreprise ? La transmission d’entreprise concerne 15% des reprises-créations d’entreprises, et ce chiffre est voué à augmenter encore dans les années à venir. Pourtant, les informations sur le sujet restent confidentielles, et il paraît difficile au premier abord de savoir comment reprendre une entreprise. Pour faciliter ce processus, il existe des aides pour la reprise d’entreprise.
Voici donc quelques conseils pour aider tous ceux qui se demandent comment reprendre une entreprise. Pour s’engager dans un projet de reprise d’entreprise, il faut avant tout disposer d’un projet aussi détaillé que possible. Quel secteur professionnel privilégier ? Combien d’employés à gérer ? Quel chiffre d’affaire moyen ? Quel salaire ? Toutes ces questions permettent de définir clairement un profil des entreprises à cibler. Pour savoir comment reprendre une entreprise, il faut en effet commencer par définir un champ de recherche.
Il existe en France plusieurs organismes qui diffusent régulièrement des informations pour savoir comment reprendre une entreprise. Des stages et des formations sont organisés par les Chambres de Commerce et les Chambres de Métier. Les repreneurs peuvent en outre y bénéficier d’un suivi personnalisé, d’une mise en relation avec les cédants, d’une assistance pour le montage du dossier financier et de conseils particuliers pour savoir comment reprendre une entreprise. L’accès à des aides pour la reprise d’entreprise peut grandement simplifier les démarches.
Enfin, une fois que l’acheteur a réuni toutes les informations nécessaires pour savoir comment reprendre une entreprise, il ne lui reste plus qu’à consulter les offres : outre les Chambres de Commerce ou de Métier, des portails spécialisés diffusent des annonces régulièrement mises à jour, et triées par secteur, chiffre d’affaire ou taille.
Comment reprendre une entreprise ? A qui ce projet convient-il ? Quels sont les critères à privilégier pour reprendre une entreprise et savoir en retirer des bénéfices ?
Pour reprendre une entreprise, il suffit en théorie de disposer d’un budget suffisant, de l’accord des banques et de celui du cédant. Il s’agit d’un acte de vente classique, qui permet d’acheter à la fois un fond de commerce et de disposer de locaux et de personnel déjà formé, ainsi que d’un statut juridique éprouvé. Mais avant de reprendre une entreprise, il faut disposer d’un minimum de garanties qui permettront d’assurer un bon rendement par la suite.
Pour reprendre une entreprise avec succès, il faut avant tout pouvoir en comprendre les objectifs et les mécanismes. Le repreneur doit donc s’orienter vers des entreprises actives dans un domaine professionnel qu’il connaît et maîtrise parfaitement. D’autres paramètres sont à prendre en compte pour établir un projet de reprise d’entreprise : la taille de la société et le nombre d’employé, le montant du chiffre d’affaire, le salaire du dirigeant et les possibilités d’expansion. Reprendre une entreprise suppose donc de s’interroger au préalable sur tous ces points, et de monter un dossier précis, mettant en avant les compétences spécifiques du repreneur, ses objectifs et ses aspirations.
Certains organismes proposent conseils et aides financières pour reprendre une entreprise. Les Chambres du Commerce et de l’Industrie, ainsi que les Chambres de Métier et d’Artisanat, ou encore la Fédération Française du Bâtiment soutiennent les repreneurs en les assistant pour le montage de leur dossier. L’Oséo est également capable de proposer des solutions financières pour limiter l’endettement et des aides pour reprendre une entreprise.
Reprendre une entreprise est un projet qui se prépare avec soin, et doit faire l’objet d’un accompagnement. Que signifie exactement « reprendre une entreprise », et quels sont les interlocuteurs du repreneur ?
S’engager à reprendre une entreprise représente une lourde responsabilité. En effet, un repreneur achète à la fois le fond de commerce, le capital, le statut juridique et fiscal de la société. Il doit tenir tous les engagements pris par son prédécesseur. Les contrats avec les clients en font partie, tout comme les dettes et les contrats de travail en cours. Reprendre une entreprise, c’est donc bénéficier d’une organisation en état de fonctionnement, mais accepter également de perdre un peu de liberté.
Dans la mesure où la responsabilité personnelle du repreneur va être engagée, reprendre une entreprise constitue une opération délicate. Il n’existe aucune obligation légale d’accompagnement pour le repreneur potentiel mais un service de conseil ou un suivi plus approfondi semblent essentiels pour éviter un mauvais investissement. Certains organismes proposent ainsi des aides pour reprendre une entreprise.
Les CCI (Chambres de Commerce et d’Industrie) offrent des outils pour reprendre une entreprise dans les meilleures conditions. Elles organisent notamment des réunions et des conférences pour la diffusion des informations relatives à la reprise ou cession d’entreprise, proposent un suivi personnel et confidentiel pour l’élaboration du projet et son montage financier, et participent à la diffusion d’annonce à travers le portail national de la transmission. Enfin, les CCI ont mis en place des formations à la reprise d’entreprise. L’Oséo a également développé une gamme de services pour reprendre une entreprise et trouver des aides au financement.
La vente d’entreprise permet d’assurer la transmission de l’ensemble d’une unité légale (statut juridique, capital, infrastructures, clientèle et personnel) sans en altérer le fonctionnement. La vente d’une entreprise permet également à son fondateur ou dirigeant de mettre un terme à son activité et de s’assurer un complément de revenus ou de retraite appréciable.
Pour pouvoir procéder à la vente d’une entreprise, il faut commencer par une estimation de sa valeur. Le prix de vente d’une entreprise dépend de nombreux facteurs. Il est évident qu’une entreprise en faillite se vendra beaucoup moins cher qu’une entreprise à l’apogée de son rendement. Il existe toutefois d’autres éléments à prendre en compte pour le chiffrage du prix d’une entreprise : chiffre d’affaire, actif net corrigé, multiple de résultat, flux de trésorerie prévisionnels etc. Pour toute vente d’entreprise, un audit complet réalisé par un spécialiste de la reprise et cession d’entreprise est donc indispensable, à la fois pour le cédant qui en tirera un bilan, et pour le repreneur qui l’étudiera afin de décider de son investissement.
Dans l’idéal, une vente d’entreprise se planifie une à deux années à l’avance. Ce délai permet au dirigeant d’optimiser son rendement, de clarifier sa situation juridique et fiscale, et de préparer le personnel au changement de direction. Afin de disposer des meilleurs atouts pour la vente d’entreprise, il est conseillé au dirigeant de s’entourer de conseillers, par l’intermédiaire de la CCI dont il dépend, ou en faisant appel directement à un cabinet d’avocats ou de juristes spécialisés dans ce secteur.
Une fois que les préparatifs arrivent à leur terme, la vente d’entreprise se matérialisera par une offre détaillée, accessible gratuitement sur les sites des CCI, ou sur des portails d’annonces de cession et reprise d’entreprise. La vente d’entreprise sera également facilitée dans le cadre d’un suivi avec un cabinet d’avocats, qui disposent généralement d’un carnet d’adresse fourni, avec des repreneurs potentiels disposant de garanties solides.
Cession et reprise d’entreprise constitue une part importante de l’économie française. Mais que recouvre exactement la cession ou la reprise d’une entreprise ?
Une cession ou reprise d’entreprise intervient lorsqu’une unité légale (SA, SARL ou toute forme juridique de société) met un terme à son activité et la confie à une autre unité légale.
Cession et reprise d’entreprise peuvent se faire à titre gratuit ou payant.
La cession et la reprise d’entreprise peuvent avoir lieu pour des raisons variées : départ à la retraite, entreprise en faillite ou changement d’activité professionnelle. Bien qu’elle puisse en théorie se faire gratuitement, la cession d’une entreprise correspond généralement à une mise en vente classique. Pour pouvoir fixer un prix, un audit complet est indispensable. Réalisé par un expert en cession et reprise d’entreprise, ce document s’appuiera sur l’actif net corrigé, un multiple de résultat et les flux de trésorerie prévisionnels.
Cession et reprise d’entreprise se déroulent en plusieurs étapes. Le propriétaire initial de l’entreprise doit prévoir à l’avance sa cession, afin de mettre de l’ordre tant dans son statut juridique que financier. Le repreneur doit avoir accès à des chiffres clairs, et à une structure aussi limpide que possible. L’audit de l’entreprise permet d’apporter des éléments objectifs pour l’évaluation du prix de l’entreprise. Ensuite, le propriétaire de l’entreprise la met en vente, par le biais de la Chambre du Commerce dont il dépend, mais également par l’entremise de sites spécialisés. Enfin, lorsque propriétaire et repreneur se sont entendus, la cession et reprise d’entreprise sera finalisée par la rédaction d’un acte de vente détaillé.
La vente et cession d’entreprise risque de connaître un essor considérable d’ici les prochaines années. En effet, un tiers des patrons d’entreprise actuels ont dépassé la cinquantaine. Il y a donc fort à parier que le chiffre des ventes et cessions d’entreprises en pleine santé vont faire un bond.
La vente ou cession d’entreprise permet à un dirigeant de vendre l’ensemble de sa propriété : structure, statut juridique, fond de commerce, locaux et transmission de personnel compétent. Le cédant remet donc au repreneur une société en état de marche, et peut alors se mettre à la retraite, ou entamer une autre activité professionnelle sans perturber le fonctionnement de son ancienne entreprise, et en garantissant l’emploi des salariés. La vente ou cession d’entreprise concerne aujourd’hui 15% des créations-reprises, et se solde majoritairement par des chiffres très positifs.
Un dirigeant qui souhaite se lancer dans la vente ou cession de son entreprise doit prendre le temps de mûrir sa réflexion : une entreprise que l’on a créée soi-même implique généralement un rapport affectif fort. Il faut en outre s’assurer que le projet de cession d’entreprise intervient au bon moment. Si l’entreprise rencontre des difficultés passagères, mieux vaut en effet attendre d’avoir redressé la situation pour procéder à la vente, afin d’en obtenir un meilleur prix. Enfin, la vente ou cession d’entreprise doit être planifiée suffisamment à l’avance afin que l’ensemble de l’équipe puisse se préparer psychologiquement à un changement de direction, et que les bases financières, juridiques et organisationnelles de la société puissent être remises à jour.
Pour démarrer la vente ou cession d’entreprise à proprement parler, le cédant, une fois prêt, n’aura plus qu’à déposer un dossier dans la Chambre du Commerce ou d’Artisanat dont il dépend. Il existe également des portails de vente et cession d’entreprise qui permettent de diffuser une annonce en ligne, et d’entrer en contact avec d’éventuels repreneurs.
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