Le concept de la franchise comporte beaucoup d’avantages tels qu’un accompagnement personnalisé, la notoriété d’une marque, la force d’un réseau. Des arguments qui peuvent séduire lorsque l’on hésite à se lancer en solo. On vous en dit plus.

Quels sont les avantages à devenir franchisé ?

Le principal avantage à devenir franchisé plutôt que de créer son entreprise en indépendant est de bénéficier d’un concept clé-en-main. En franchise, il n’est ainsi pas nécessaire de rechercher une activité rentable, de trouver des fournisseurs, d’imaginer un nom d’enseigne et de créer un logo, etc. En effet, tout existe déjà !

Le franchisé profite également de la notoriété de l’enseigne choisie et cette dernière lui donne de la légitimité. Il est de plus accompagné par le franchiseur et n’est jamais seul face aux problèmes qu’il peut rencontrer. Il peut s’appuyer sur l’expérience de ce dernier ainsi que sur celle des autres franchisés. Enfin, le franchisé profite des services offerts par son réseau, tels que des prix déjà négociés par la centrale d’achat, les services juridiques, informatiques et R&D, la logistique, la communication, le marketing…

Il est possible de devenir franchisé dans des secteurs d’activité les plus divers. On peut retrouver les plus rentables sur franchise-magazine.com et obtenir tous les renseignements nécessaires à la mise en route du projet.

Quels sont les dangers lorsque l’on crée son entreprise en indépendant ?

Se lancer dans le monde de l’entreprise en tant qu’indépendant est loin d’être une chose facile. Bien que, par rapport à un franchisé, on soit libre de tout gérer comme on le souhaite, on se retrouve tout seul et on ne bénéficie pas de l’expérience d’un réseau pour gérer les problèmes au quotidien. Il faut donc se charger de la négociation des achats, de la publicité, du recrutement, du développement, du marketing, de l’aspect juridique…

Le démarrage est également bien souvent plus lent car, ne bénéficiant pas de la notoriété d’une enseigne, l’entrepreneur indépendant doit se faire connaître. Il faut donc qu’il déploie beaucoup d’énergie pour attirer des clients et les convaincre. Tout cela fait que se lancer en indépendant est perçu par les banques comme plus risqué. Elles sont donc plus regardantes pour ce qui est des demandes de financement par rapport aux demandes venant de candidats à la franchise.

Pourquoi créer une franchise Mondial Tissus ?

En matière de décoration, le DIY et la couture ont le vent en poupe. Voilà pourquoi ouvrir une franchise Mondial Tissus est une très bonne option. L’enseigne est en effet forte de plus de 38 ans d’expérience et se positionne en tant que leader du secteur du tissu et de la mercerie. Le concept proposé aux franchisés est de plus particulièrement élaboré et comprend des ateliers, un service de décoration sur-mesure, l’option click and collect proposée par son site e-commerce, des cartes de fidélité…

L’enseigne possède également une forte notoriété, entretenue notamment grâce à son partenariat avec l’émission « Cousu main » diffusée sur M6, mais aussi par sa présence dans la presse et à la radio. Elle est également très représentée sur les réseaux sociaux et compte de nombreuses communautés de fans.

Pour finir, le candidat à la franchise Mondial Tissus sera accompagné à chaque étape du processus précédant l’ouverture de son magasin, à savoir la préouverture, le merchandising, les systèmes d’information et de communication, etc. Enfin, il aura l’opportunité, ainsi que son équipe, de suivre une formation complète.


En fait, un extrait K ou Kbis autorise à une entreprise ou à un entrepreneur de prouver son immatriculation au répertoire du commerce ou au niveau des sociétés (RCS) ainsi que pour la vérification de son activité légale. En effet, le fait de demander un kbis gratuit, peut être obtenu par le chef d’entreprise. Il peut également être réclamé par toute personne recherchant les renseignements d’une entreprise. Néanmoins, ce dernier parcours, réalisé auprès du tribunal de commerce, n’est pas gratuit.

Pourquoi doit-on demander le document Kbis d’une entreprise ?

Effectivement, un extrait Kbis est une preuve irréfutable que votre entreprise est dans l’archive du RCS. En effet, si vous n’avez pas ce document, vous allez certainement avoir des difficultés dans beaucoup de situations. Une ouverture d’un compte en banque professionnel, par exemple, est impossible sans l’extrait kbis gratuit en ligne et pareillement pour un achat des matériaux auprès d’un fournisseur. De plus, il doit encore être présenté dans toute démarche administrative et autre chose.

De tout ce qu’on vient de dire, l’échange de services entre deux entreprises sans le document Kbis n’est pas évident. Par conséquent, avant de projeter un business avec certaine entreprise, veuillez, demander ce document ou recourir à d’autre solution que vous allez voir par la suite. Notez, en passant qu’un extrait Kbis communiqué aux administrations doit obligatoirement dater de moins de 3 mois. Pour plus d’informations, veuillez consulter sur exiger un extrait kbis gratuit en ligne.

Comment peut-on obtenir kbis  gratuit en ligne ?  

Avant de vous répondre à cette question assez pertinente, il y a autre chose à noter pour vous. En fait, depuis peu de temps, pour accomplir certaines démarches administratives, vous n’avez plus besoin de demander un kbis gratuit pour votre entreprise, il vous suffit de présenter le numéro de la Siren, ainsi les autorités compétentes peuvent obtenir tous les avis de situations de votre entreprise avec le site de l’annuaire des entreprises. En effet, les extraits K ou Kbis ne sont plus requis dans les procédures suivantes : si vous faites par exemple, une demande de marché public ou une requête d’autorisation d’exploitation d’un commerce et enfin une sollicitation d’une ouverture des instructions sur le redressement judiciaire.

Notez également que, jusqu’à récemment, comment obtenir kbis n’était pas évident, en fait, il n’était pas possible d’obtenir gratuitement un extrait Kbis en ligne facilement. Ainsi, pour avoir ce document, celui-ci doit être commandé en ligne avec le site infogreffe.fr. À ce moment, une mise à disposition de Kbis doit être facturée par le Greffe du Tribunal de Commerce d’un montant de quelques euros. Heureusement pour vous, à partir de l’année 2020, une seule plateforme de téléchargement gratuit d’extrait Kbis arrive à bon moment : Monddenum. Cependant, la demande doit provenir et concerner seulement votre entreprise. Actuellement, des solutions alternatives sont en vigueur pour acquérir gratuitement des Kbis auprès d’une autre institution.

Extrait kbis gratuit en ligne pour une autre entreprise : est-ce possible ?

Il est à souligner une fois de plus que, vous ne pouvez pas récupérer que l’extrait Kbis de votre entreprise avec le service de MondIdenum. Effectivement, pour y avoir accès, il faut être le dirigeant de l’entreprise et c’est obligatoire. En d’autres termes, comment obtenir un kbis gratuit d’une autre entreprise est impossible, et cela, grâce à une certaine plateforme du CNGTC (concurrentiel de votre entreprise par exemple). Néanmoins, d’autres sites Internet présentent le même service pour vous en cas de besoin. Il existe certains sites qui permettent de télécharger un Extrait Papiers qui comprend les mêmes informations qu’un Kbis. Néanmoins, il ne possède aucune valeur juridique mais seulement fournie à titre informatif et quelques fois assez suffisante pour vous lancer de faire un échange de services avec d’autres entreprises.

En conséquence, ce site encaisse toutes les données disponibles auprès d’administrations officielles d’organismes ainsi que d’organismes comme l’Institut National des Statistiques et des Études Économiques ou bien l’Institut National de la Propriété Industrielle… Bref, la liste va être longue. D’autres sites connus vont encore faire d’avantage, comme infogreffe.fr par exemple. En effet, celui-ci peut vous proposer, en accès libre et gratuit, des documents juridiques (statuts, procès-verbaux d’assemblées générales) ainsi que les comptes annuels de toutes les entreprises. De plus, il récupère aussi la liste des marques déposées ainsi que la liste des associés de l’institution. Tout y est là afin de vous aider, pour bien connaître la situation d’une autre entreprise avec laquelle vous voulez échanger des services même sans avoir l’extrait kbis gratuit en ligne pour cette entreprise.

La rentabilité d’un projet est le résultat du rapport entre les ressources utilisées et les revenus gagnés lors de la création d’un projet quels que soient ses objectifs ou sa nature. Pour les projets en phase de démarrage, c’est la rentabilité prévisionnelle. Divisez les profits prévisionnels par le montant de l’investissement afin de calculer la rentabilité prévisionnelle d’un projet. Le résultat de ce dernier est un pourcentage qui peut être analysé et interprété pour améliorer ou augmenter la rentabilité du projet.

Le calcul de la rentabilité d’un projet

Les entrepreneurs effectuent un calcul de rentabilité d’un projet avant de l’exécuter. Ils doivent comprendre en amont si le projet est rentable ou perte. La rentabilité d’un projet au stade de démarrage est nommée rentabilité prévisionnelle et c’est la réponse de l’avantage qu’un entrepreneur ou un investisseur décide de renoncer pour en tirer un revenu ou un bénéfice. Le calcul du seuil de rentabilité peut vous permettre de découvrir le seuil avec duquel un investisseur débute à réaliser des profits. Par conséquent, les investisseurs apportent des capitaux (liquidité ou argent) et prennent des risques, c’est pour cette raison que la rentabilité peut également être déterminée comme le retour de l’investisseur sur le risque pris sur les projets. Pour voir plus d’informations, voir ici creer-entreprendre.fr

Le fait de commencer un projet qui ne générera pas de profit n’est pas une meilleure idée et fera perdre de l’argent et du temps, il est sage de faire un investissement ailleurs. Mais comment calculer le taux de rentabilité au stade du démarrage ? Il faut d’une part savoir, envisager et calculer le revenu que vous pensez profiter lors de la création du projet (les chiffres qui en résultent sont calculés sur la base d’anticipations ou de prévisions), d’autre part la somme actifs investis ou des capitaux. Il vous reste à effectuer une division du premier nombre par le second, lorsque les deux nombres sont connus, ce qui servira de posséder un pourcentage, qui pourra aussi être analysé pour l’augmenter.

Faites augmenter la rentabilité de votre projet 

Après avoir réalisé un calcul de rentabilité d’un projet, il est nécessaire de décomposer le pourcentage disposé car il est très susceptible d’accroître grâce à plus de réduction de coûts de gestion et d’exploitation, plus de communications marketing ou plus de prospections de clients. Si la rentabilité d’un projet est calculée en tenant compte de la période de réalisation du projet, alors ce nombre sera négatif au début. Cela peut s’expliquer par le fait que dans les premiers mois de mise en œuvre, le montant du capital investi est clairement supérieur au revenu perçu.

Lorsque le capital investi est inférieur au revenu obtenu, on parle de « seuil de rentabilité ». C’est avec ce seuil que le projet génère un CA (chiffre d’affaires), qui peut permettre de rémunérer l’entreprise. Mais comment peut-on faire un calcul du SR ? Déterminez simplement le coût fixe que on divise par le total du bénéfice du projet.

L’évaluation de la rentabilité d’un projet

Avant de faire un grand investissement, il faut évaluer s’il a du sens d’un point de vue économique ou non. Mais comment évaluer la rentabilité d’un projet ? l’examen le plus déterminant comporte à vous garantir que les avantages d’un grand projet dépasseront son coût total. Le taux de rentabilité peut évaluer la rentabilité des projets, il suffit de diviser le résultat net annuel par l’investissement initial.

-Par exemple, faites un achat pour 1 million de dollars d’équipement. Son taux de rendement comptable est de 8 %, si l’appareil génère un revenu net annuel de 80 000 $. Lorsque vous faites une comparaison de certains projets, gardez à l’esprit que les investissements avec des rendements comptables plus élevés sont plus attrayants.

La franchise de rentabilité comptable en fait un outil souvent utilisé afin de réaliser une évaluation des projets, mais il est encore simple et néglige des facteurs essentiels. Il ne prend pas compte du concept de coût temporel de l’argent, selon lequel un dollar vaut plus aujourd’hui que dans les quatre ans à venir. Cette approche ne prend pas non plus en compte la liquidité, aspect clé de tout projet d’investissement.

– En actualisant chaque sortie et chaque entrée de trésorerie future estimée, la technique de la valeur actualisée nette également appelée VAN calcule les gains et les pertes financiers nets.

Alors que la valeur correcte d’un projet n’est connue qu’à la fin du projet, la VAN peut permettre aux investisseurs de considérer la somme temporelle de l’argent lors de l’évaluation d’un projet à long terme.

Les bonnes raisons de réaliser une analyse du seuil de rentabilité 

-Le fait de savoir le seuil de rentabilité permettra à bien estimer les produits. Beaucoup de psychologie est compromise dans le processus de fixation d’un prix effectif pour votre produit. Mais il est tout aussi important de comprendre à quel point le seuil de rentabilité peut affecter votre résultat net. Vous devez vous garantir que vous avez la possibilité de payer toutes les taxes et frais.

-Quand certaines personnes réfléchissent au prix, ils s’accumulent davantage sur le coût de création d’un produit. On parle des coûts qui sont regardés comme variables. Cependant, vous payez également des frais fixes comme les frais de développement web, les frais d’assurance et d’autres. L’analyse de seuil de rentabilité peut vous aider à y parvenir.

-Lorsque vous perfectionnez votre idée d’entreprise, ça semble facile d’oublier certains frais. Désormais, quand vous effectuez une analyse du seuil de rentabilité, vous disposez alors d’une liste complète de toutes les dépenses possibles.

Au cours de l’existence d’une société, la nécessité de la dissoudre peut survenir pour diverses raisons. Si cette nécessité survient alors que la société n’est pas en difficulté financière, alors une dissolution à l’amiable est nécessaire. La dissolution anticipée est l’étape qui précède la liquidation à l’amiable de la société. Cette procédure comporte différentes étapes qui sont obligatoires pour une liquidation réussie. Vous trouverez ici toutes les informations nécessaires à la procédure de cette forme de dissolution.

LES DIFFÉRENTES RAISONS D’UNE DISSOLUTION AMIABLE D’UNE ENTREPRISE

En réalité, la dissolution d’une société ne peut venir que de la décision des associés de la société. Cette décision peut être prise à tout moment, et a un but bien précis, celui de radier la société du registre du commerce et des sociétés (RCS). En général, les dissolutions de sociétés ne sont pas liées à des problèmes financiers, mais à des problèmes de gestion. Elles sont le résultat de mésententes entre les associés sur des décisions importantes pour le bon fonctionnement de l’entreprise. La procédure de liquidation a un tout autre objectif. C’est par cette procédure que les créanciers de l’entreprise peuvent exercer leurs droits, après la réalisation des actifs. Après ces étapes, l’actif net restant de la société est réparti entre les différents associés. Sur www.leblogdudirigeant.com, vous trouverez des informations utiles en plus de ce guide pour mieux comprendre cette procédure. Pour toute procédure de dissolution amiable, l’intervention judiciaire n’est pas nécessaire lorsque la société est en mesure de payer ses dettes.

L’OBLIGATION D’UNE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE

Selon les règles de fonctionnement de la société, la décision de dissolution ne peut être prise que lors d’une assemblée générale à laquelle participent tous les associés. Lors de la tenue de l’assemblée, seule la décision des associés constituant la majorité extraordinaire doit être prise. Un procès-verbal est établi à la suite de l’assemblée générale. Le délai de dissolution commence à courir à compter de la date de la décision. L’ouverture du délai de dissolution entraîne une modification de la capacité de la personne morale. Toutefois, il n’est possible qu’exceptionnellement de couvrir la période de liquidation. Pendant cette période, les documents et registres de la société doivent être marqués comme une société en liquidation. La procédure de liquidation prend fin lorsque toutes les dettes contractées par l’entreprise ont été intégralement payées. Les comptes doivent également avoir été réglés en totalité. La clôture de la liquidation volontaire est soumise à certaines étapes importantes, notamment l’apurement du passif. Le nom de l’entreprise sera désormais associé à la mention « société en liquidation ».

LA NOMINATION D’UN LIQUIDATEUR AMIABLE

Le liquidateur est le représentant de l’entreprise dans le cadre de la procédure de liquidation amiable. Concrètement, il est chargé de dresser un inventaire de l’actif et du passif de l’entreprise. En sa qualité de représentant, il agit au nom et pour le compte de l’entreprise, et est chargé d’établir les différents actes relatifs à la liquidation. Dans l’exercice de ses fonctions, le liquidateur peut être autorisé à établir des documents commerciaux et des actes destinés aux tiers. Dans ce cas, son nom est attaché à chacun des actes établis après l’inscription de la mention de société en liquidation. Ces mesures ont pour but de faire connaître de façon permanente le nouveau statut de l’entreprise.

LES FORMALITÉS ADMINISTRATIVES À ACCOMPLIR

Après la dissolution effective d’une société, les anciens associés et dirigeants sont tenus d’informer les tiers. Cette information doit faire l’objet d’un avis qui doit être publié dans un journal d’annonces légales. Pour être valable, l’avis publié doit contenir certaines mentions obligatoires, dont l’identification de la société et le motif de la liquidation. L’identification couvre plusieurs aspects dont la dénomination sociale, la forme de la société et le montant du capital social. Elle concerne également l’ancienne adresse du siège social, le numéro d’enregistrement et la ville du registre du commerce et des sociétés. Parmi les autres mentions obligatoires figurent les noms, prénoms et domiciles des liquidateurs. Le lieu où les actes et documents relatifs à la liquidation doivent être notifiés. Il est également nécessaire de mentionner le tribunal de commerce compétent pour le dépôt des actes et documents relatifs à la liquidation. Pour le lancement de la procédure de dissolution de la société, une démarche juridique est absolument nécessaire. Elle consiste à déposer un dossier auprès du greffe du tribunal de commerce rattaché au siège social de la société. Pour être recevable, ce dossier doit comporter chacune des pièces suivantes. Il s’agit d’une copie timbrée et enregistrée du procès-verbal décidant de la dissolution et désignant le liquidateur. En outre, les formulaires M2 dûment complétés et signés doivent être fournis. Une attestation de publication de l’avis de modification dans un journal d’annonces légales doit également être fournie. Une procuration originale du représentant légal est également requise si celui-ci n’a pas signé les formulaires M2. Une autre condition est également établie pour le liquidateur s’il n’est pas mentionné dans le RCS de l’entreprise. Dans ce cas, il doit fournir une copie de sa pièce d’identité et une déclaration sur l’honneur de non-condamnation, datée et signée. A cela s’ajoute un certificat de filiation, ainsi qu’un chèque à l’ordre du greffe du tribunal de commerce.


Le domaine de la santé est un business lucratif. De ce fait, le commerce légal de médicaments constitue une activité très rentable, surtout à long terme. Pour les jeunes pharmaciens et les investisseurs souhaitant se lancer dans ce secteur, la principale difficulté réside dans l’acquisition de l’officine. En effet, les charges relatives à l’achat (ou la location) du fonds de commerce et les divers produits mis en vente sont très élevées. Heureusement, il existe plusieurs moyens de financer ce type de projet. Tous les détails en quelques lignes.

 L’autofinancement

Pour ouvrir une pharmacie, le principal intéressé (jeune pharmacien ou investisseur) peut utiliser ses fonds propres. Il peut s’agir d’un apport en numéraire (argent liquide) ou en nature (médicaments et meubles dédiés à l’exploitation du fonds de commerce). Dans cette perspective, une seule personne est le propriétaire de la pharmacie. Cette démarche permet d’avoir une totale autonomie concernant la gestion et la finance du fonds de commerce. L’unique propriétaire perçoit également la totalité des profits réalisés dès l’ouverture de la pharmacie. Les gens peuvent également s’associer pour l’achat d’une officine. Chaque associé devra ainsi apporter à l’entreprise des apports en capital. Il peut s’agir d’une somme d’argent, d’un fonds de commerce ou même de biens divers. La répartition des parts sociales et des dividendes sera définie en fonction de la hauteur des apports de chaque associé.

Pour le financement de l’activité, un associé peut également accorder un prêt à la pharmacie. C’est ce qu’on appelle « l’apport en compte courant associé ». Dans le cadre de cet emprunt spécifique, c’est l’administration fiscale qui fixe le taux d’intérêt. Sauf clause contraire, l’associé ayant accordé le prêt peut reprendre son argent à tout moment.

 Les différents mécanismes concernant l’achat d’une pharmacie sont complexes. Dans le cadre de votre projet, n’hésitez pas à solliciter l’accompagnement d’un expert dans ce domaine comme www.pod.fr.

La demande d’emprunt auprès des banques

Acheter une pharmacie coûte généralement autour de 500 000 à 2 000 000 euros. Dans la plupart des cas, l’apport personnel ne suffit pas pour couvrir l’ensemble des frais. La demande d’un prêt bancaire amortissable s’avère donc indispensable. Cet emprunt va compléter les sommes déjà avancées par le futur acquéreur de l’officine ou les associés qui se sont lancés dans cette aventure entrepreneuriale. Toutefois, il faut noter que la demande de prêt dans le cadre de l’ouverture et du rachat d’une pharmacie peut s’avérer risquée. En effet, le remboursement de l’emprunt pèse sur le budget global dédié à l’activité. Les difficultés dans le cadre du reversement du crédit et des intérêts peuvent entraîner la liquidation des pharmacies. Pour éviter ce genre de mésaventure, il est judicieux de bien définir les conditions de remboursement du prêt bancaire. Pour soulager la trésorerie de la pharmacie, il vaut mieux opter pour un crédit à longue échéance. Cette stratégie permet de rembourser progressivement la banque ayant financé l’achat de la pharmacie.

Les aides financières accordées par les groupements de pharmaciens

Pour un jeune pharmacien, acheter une officine peut s’avérer très difficile sur le plan financier. Dans cette perspective, les professionnels travaillant dans le domaine peuvent aider les nouveaux à s’installer. Cet accompagnement peut se manifester par diverses manières comme l’octroi de prêt ou encore le fait de se porter caution auprès des banques. Les groupements de pharmaciens peuvent aussi soutenir les jeunes grâce à l’organisation de formations, le réseautage, la réalisation d’achat groupé afin de bénéficier des meilleurs tarifs… Cette aide précieuse facilite grandement la concrétisation du projet que ce soit sur le plan financier, matériel ou logistique. C’est une vraie aubaine pour un jeune pharmacien qui manque de fonds propres et de contacts professionnels.

Si vous désirez intégrer un réseau de franchise, mais que vous ne trouvez pas le bon franchiseur, il vous est possible d’élargir votre recherche de plusieurs façons. Trouver la bonne franchise est un grand défi et peut prendre beaucoup de temps.

Si vous suivez toutefois ces quelques conseils, si vous faites des recherches approfondies, si vous gardez l’esprit ouvert et si vous établissez un réseau étendu, vous constaterez que les possibilités sont nombreuses.

Faites une étude de marché pour trouver la bonne entreprise en franchise

Le point de départ de tout franchisé potentiel est une recherche approfondie. Pour trouver la bonne franchise, vous devez savoir ce qui existe et ce qui est disponible. Utilisez toutes les ressources à votre disposition et lorsque vous voyez un commerce qui vous plaît, creusez un peu plus.

Prenez contact avec le franchiseur, demandez plus d’informations et commencez à peser le pour et le contre de la franchise. Il se peut que ce ne soit pas la meilleure opportunité de franchise pour vous, mais vous ne le saurez qu’en faisant des recherches.

Dites-vous aussi que si vous cherchez la franchise idéale et que vous avez déjà des contacts qui ont ou travaillent dans le système de franchise, vous pouvez les contacter pour en savoir plus. S’ils sont franchisés, ils pourront probablement vous donner des informations sur leur propre franchiseur. S’il s’agit d’un franchiseur, ils pourront probablement mieux vous orienter. Cliquez ici pour en savoir plus.

Assistez aux foires et salons aux franchises et devenez franchisé

Les foires et expositions de franchisage se déroulent fréquemment et sont un excellent moyen de disposer d’un annuaire de la franchise et d’explorer vos options. Vous avez non seulement une excellente idée de ce qui est disponible, mais vous pouvez aussi parler aux franchiseurs et commencer à créer des réseaux.

S’il y a un salon de la franchise près de chez vous, n’hésitez pas à vous y rendre, même si ce n’est que pour prendre du matériel promotionnel des franchises qui vous intéressent. Pensez aussi à garder un oeil sur les dernières tendances et à réfléchir à ce que veulent les gens de la zone où vous souhaitez vous implanter.

N’oubliez pas que votre franchise ne doit pas forcément être une idée entièrement originale. Elle doit simplement satisfaire la demande locale et offrir un meilleur service que la concurrence.

Qu’en est-il de vos compétences ?

La meilleure franchise de France est celle qui vous permettra de vous amuser et de réussir. Il est par conséquent important de réfléchir au type d’entreprise auquel vos compétences sont les mieux appropriées. Vos capacités naturelles de communication font-elles de vous un excellent vendeur ?

Votre compréhension de la technologie digitale vous permet-elle de mieux vous adapter à un domaine lié aux technologies de l’information ? Déterminez vos points forts et recherchez les opportunités qui vous permettront de briller. 

Les conseils pour la cession d’entreprise sont précieux, car une vente bien gérée permet d’apporter un complément de revenus ou de retraite substantiel pour le cédant, ainsi qu’une satisfaction personnelle particulièrement importante lorsque le vendeur est également le fondateur de l’entreprise. Mais comment faire pour obtenir de bons conseils pour la cession d’entreprise ?

Les avocats spécialisés dans le conseil pour la cession d’entreprise sont bien évidemment des interlocuteurs privilégiés. Ils accompagnent l’ensemble du processus, et veillent au respect de la législation comme aux intérêts du cédant. Le conseil pour la cession d’entreprise assuré par des avocats peut démarrer plusieurs années avant la vente effective de la société, afin d’optimiser le rendement et l’organisation interne de l’entreprise, et de procéder à sa clarification juridique et financière.

Le conseil pour la cession d’entreprise peut également être délivré par des organismes publics. En fonction de l’activité de l’entreprise à céder, les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Chambres de Métier et de l’Artisanat ou la Fédération Française du Bâtiment sont particulièrement recommandées pour la préparation et le suivi d’une cession ou reprise d’entreprise. Des conférences, stages ou formations sont organisés régulièrement pour diffuser information et conseil pour la cession d’entreprise.

Parmi les organismes privés, l’Oséo propose un dossier complet de conseil pour la cession d’entreprise. Des solutions financières sont également disponibles pour les repreneurs, ainsi qu’une aide au montage financier. Enfin, des regroupements de professionnels de l’audit délivrent des conseils pour la cession d’entreprise, ainsi que des propositions d’intervention pour dresser un bilan financier complet de la société concernée.

La cession d’entreprise en Rhône-Alpes fait intervenir plusieurs acteurs, organismes privés ou publics, qui favorisent les échanges entre cédants et repreneurs, aident à la préparation de la vente, puis soutiennent les projets d’acquisition et leur montage financier. La cession d’entreprise en Rhône-Alpes bénéficie donc d’un encadrement particulièrement sécurisant pour le cédant comme pour le repreneur.

Parmi les acteurs de la cession d’entreprise en Rhône-Alpes, on compte les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Chambres de Métier et de l’Artisanat, la Chambre départementale des Notaires du Rhône, le Barreau de Lyon, et l’Ordre régional des Experts-Comptables Rhône-Alpes. Chacune de ces institution ou corporation professionnelle apporte sa contribution au cours d’une cession entreprise Rhône-Alpes, soit en accompagnant la démarche du cédant, soit en soutenant le projet du repreneur.

Les Chambres du Commerce et de l’Industrie ainsi que les Chambres de Métier et de l’Artisanat effectuent avant tout un travail d’information et de conseil pour la cession d’entreprises en Rhône-Alpes. Conférences, formations et conseil personnalisé au cédant comme au repreneur constituent le plus gros de leur travail. Ces deux institutions pratiquent également des diagnostics d’entreprise, et la mise en relation des deux parties pour la cession d’entreprises en Rhône-Alpes grâce à la BROA (Bourse Régionale de transmission et reprise d’entreprises artisanales), et aux bases CCIBLE et TRANSCOMMERCE.

La Chambre départementale des Notaires du Rhône, le Barreau de Lyon et l’Ordre régional des Experts-Comptables ont créé en commun un site pour la cession d’entreprise en Rhône-Alpes. La mise en ligne des dossiers complets de cession ainsi que des liens à l’attention des repreneurs pour prise contact avec les cédants permettent de présenter des offres nombreuses et fiables à un public le plus large possible.

Cession et acquisition d’entreprise peuvent être une excellente occasion pour les uns de se retirer des affaires en disposant d’un complément de retraite ou de revenus intéressants, et pour les autres de se retrouver à la tête d’une société « clé en main ». Mais comment procède-t-on à la cession ou acquisition d’entreprise ?

Les transactions de cession et acquisition d’entreprise sont comparables à la mise en vente de n’importe quel produit. L’objectif du créateur d’entreprise qui souhaite mettre un terme à son activité est donc bien évidemment de tirer le meilleur prix de sa société, tandis que le repreneur cherchera à s’assurer à la fois de la viabilité de l’entreprise, ainsi que des revenus qu’il pourra tirer de sa nouvelle activité. Cession et acquisition d’entreprise supposent donc, en amont, un travail de préparation de la part du vendeur, et, en aval, une collaboration entre repreneur et dirigeant sortant pour le montage financier du projet.

Cession et acquisition d’entreprise figurent sur les sites des Chambres du Commerce, ainsi que sur des portails spécialisés. Les recherches peuvent se faire sur des critères géographiques, ou par secteur d’activité. Le salaire du dirigeant, le chiffre d’affaire ou la taille de l’entreprise sont autant de critères supplémentaires pour générer une liste de cession et acquisition d’entreprises conformes au projet du repreneur.

La cession ou l’acquisition d’une entreprise sont des transactions complexes, dont dépendent non seulement l’avenir de l’ancien et du nouveau dirigeant, mais également de la société et de ses employés. Pour que la cession et l’acquisition d’entreprise se déroule dans les meilleures conditions pour tous, il est donc fortement conseillé de faire appel aux services d’avocats spécialisés dans ce domaine, qui prépareront la mise en vente, favoriseront les contacts entre vendeur et repreneurs sérieux, et participeront au montage financier du projet.

La cession d’entreprise est un processus délicat, à préparer avec soin pour en tirer le meilleur bénéfice. La cession d’entreprise dépasse en effet le cadre d’une simple mise en vente, car il s’agit autant d’investissement financier que personnel.

La cession d’entreprise permet au dirigeant de se retirer sans interrompre pour autant l’activité de la société. Dans le cadre d’un départ à la retraite ou d’une réorientation professionnelle, une cession d’entreprise correspond toujours à un bilan : comment faire pour le rendre aussi positif que possible ?

La cession d’entreprise est dans l’idéal envisagée longtemps à l’avance, au moins 2 ou 3 ans avant la mise en vente effective. Dans cette optique, le dirigeant dispose d’un peu de temps pour mettre de l’ordre dans ses comptes ou ses statuts, et optimiser le rendement de son entreprise. Alors qu’une entreprise représente pour son fondateur une forte valeur affective, le repreneur, lui, risque fort de se concentrer sur les chiffres uniquement… La cession d’entreprise sera donc facilitée si le rendement et la productivité d’une entreprise sont à leur apogée.

Une cession d’entreprise sera également beaucoup plus simple à réaliser si la structure juridique des sociétés concernées est claire. L’organisation de la hiérarchie doit elle aussi faire l’objet d’une remise en ordre pour éviter les conflits internes. Enfin, une cession d’entreprise se fera plus rapidement si le dirigeant participe avec le repreneur au montage financier de la cession d’entreprise, en lui fournissant notamment tous les chiffres nécessaires pour convaincre les banques de le suivre dans son projet de reprise.

Pratiquement, la cession d’ une entreprise ressemble à une vente. Mais il s’agit de bien plus que cela, car la cession d’ une entreprise correspond à la transmission d’un fond de commerce, d’une structure juridique, d’une équipe de travail et d’une clientèle.

La cession d’ une entreprise constitue une étape particulièrement délicate pour le fondateur de la société, qui doit parvenir à considérer le fruit de son travail et de ses efforts comme un produit à vendre au meilleur prix. Pour que la cession d’ une entreprise se déroule dans de bonnes conditions, et apporte satisfaction au dirigeant sortant comme au repreneur, elle doit avoir été préparée avec soin pendant les mois voire les années précédentes.

La cession d’une entreprise en pleine expansion se fera naturellement beaucoup plus facilement que celle d’une entreprise en perte de vitesse. Il est donc conseillé aux dirigeants qui souhaitent mettre un terme à leur activité, pour un départ à la retraite ou pour une reconversion, de ne pas attendre le dernier moment. La cession d’une entreprise à l’apogée de son rendement, avec un dirigeant fort et convaincu, sera toujours plus rentable.

La préparation de la cession d’une entreprise est également primordiale. Le statut juridique et l’état financier de l’entreprise concernée doivent être présentés avec la plus grande clarté, et vérifiables. Un dirigeant prévoyant consacrera donc toute son énergie à réorganiser l’organigramme de sa société, afin que les tâches et fonction de chacun, et notamment de l’équipe de management, soient définies avec précision. Enfin, un audit financier réalisé par un spécialiste est incontournable pour que la cession d’une entreprise se concrétise.